La coupe de Seine et Marne au programme.

Mardi soir, exceptionnellement, ce n’est pas à un entrainement que la foule des grands soirs est venue assister. De fait, la foule ne vient jamais voir un entrainement, quelle qu’il soit, du moins à Nanteuil.

Non, s’il y avait un peu foule (n’exagérons rien non plus), c’est que les filles, recevaient les filles de Coulommiers. Les mêmes filles qui les avaient battues un peu sévèrement lors de leur dernière rencontre il y a une dizaine de jour. On se disait que, connaissant l’adversaire cela irait peut-être mieux. Mais on ne se faisait pas trop d’illusion non plus. On n’oubliait pas que les filles, n’avait pas joué depuis cette même dizaine de jour (la faute à la neige), et surtout, pire que tout, ne s’étaient pas entrainé ou presque.

Du fait de ce match, les seniors 1 ont écourté leur entrainement, merci à eux. Je crois savoir qu’ils auront droit à une séance de rattrapage.

 Coulommiers arrive un peu à la bourre, pas grave. Les arbitres sont là. Un des deux n’est pas celui prévu initialement, mais bon, il est heureux d’être là. C’est l’essentiel.

Julien fait le chrono, je fais la feuille. Pour ce soir, c’est mon choix. Comme ça je vais moins m’énerver.

Et il faut bien le dire, quand on est à la table, il y a une sorte d’envoutement qui se fait, et, on ne voit pas les choses de la même manière.

Je ne veux pas dire, loin de moi cette idée, que j’étais en harmonie parfaite avec les arbitres, mais, cela à un côté qui permet de relativisé, ou du moins de mieux comprendre les décisions arbitrales.

Que dire du match ?

Une première mi-temps plutôt équilibré (surtout le deuxième quart-temps), avec, pour Nanteuil une défense bien en place, rugueuse à souhait, qui pose de vrai problème aux adversaires. Malheureusement, il y a beaucoup de déchets sur les shoots, et l’attaque à du mal à être efficace.

On a vu de belles choses, de beau panier (celui de Valéry par exemple en début de deuxième quart-temps).

En ce qui concerne la deuxième mi-temps, on ne peut que constater les dégâts.

Si je puis me permettre, sans vouloir me fâcher avec personne, mais même quand on à 9 points de retard à la mi-temps, le match n’est pas perdu.

Pourquoi avoir lâché ? C’est comme s’il y avait eu une démission quasi collective, une plus envie de jouer venue de nulle part et envahissant chacune de nos joueuses.

En une mi-temps on passe de -9 à -30. Dommage pour ce manque de combativité.

Bon Gaëlle (la grande) s’est blessée, une fois de plus, la cheville en vrac, cette fois.

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Dimanche, suite des matchs de coupe de Seine et Marne.

Cette fois, c’est du lourd, du très lourd, du très très très lourd. Même. C’est comme si au foot, Meaux recevait St Etienne, inimaginable…

Là c’est presque du même acabit. Nanteuil reçoit Melun.

Nanteuil = Promotion d’Excellence Départementale.

Melun = Excellence Régionale (les portes de la Nationale3)

4 poules d’écart.

On va se dire «  Même pas peur ! ».

Et pour avoir moins peur, dimanche, sur le coup de 15h, il faudra être nombreux pour soutenir l’équipe1.

L’équipe aura un tout petit avantage. Ces 4 poules d’écart lui donne droit à 20 points d’avance. Mais, sans un maximum d’ambiance, sans un maximum de bruit, sans un maximum de soutien, ces 20 points risquent bien de fondre comme neige au soleil.

Et puis, les occasions sont rares de voir de bon basket. On devrait voir un beau spectacle.

Bien sûr, les Thomas, Cédric, Anthony, Julien(s), Sébastien, Nicolas, Stephane, Clément, Adrien, (et tout autres joueurs de la une que j’aurai oublié) auront à cœur de rendre coup sur coup et de faire (une fois de plus) le match de leur vie.