DE BONNE CHOSE CE WEEK-END (23 Octobre)

Pour les plus jeunes d’entres nous, ils ont débutés ce vendredi soir : les congés.

Et dire qu’ils ont commencé l’école le mois dernier. Il est dit que le temps nous précède.

Pour eux, le temps des compétitions débute et ils doivent se mettre en repos forcé. Enfin presque.  Ceci-dit, en ces premiers jours de congé, nous entendons toujours bruire le tumulte des joueurs qui répètent les gestes essentiels pour notre sport.

Bon, nous devons le confesser, tout semble (un peu) plus cool qu’en temps coutumier. Nous dirons, pour votre défense, que l’essentiel est de s’exercer toujours et encore. C’est le plus décisif. En effet, très vite, dès le week-end de reprise des cours, les jeux reprennent.

Quelques problèmes sont en vu pour les heures des minimes et des filles. En effet, le jour qui leur est dévolu, c’est férié. Et quoi qu’on produise, quoi qu’on dise, quoi qu’on geigne, nous restons fermés les jours fériés.

Nous devons, en conséquence, trouver des solutions. Et je ne doute en rien d’une volonté commune de tous pour les trouver.

J’entrevois, ces quelques lignes écrites, que je me suis retenu de dire un seul mot sur les deux compétitions du week-end dernier. Ce n’est ni geste de modestie, ni geste d’oisiveté… Non, c’est que tout simplement, je me suis permis quelques digressions pour m’y permettre d’y réfléchir et d’en écrire deux ou trois lignes.

On commence comment.

Une lourde « déroute », ou une bonne victoire.

Donc,  ce week-end ce sont  les deux équipes séniors dont on se doit de deviser. L’équipe 1 et l’équipe 2 respectivement contre le Claye-Souilly BB* et  l’US Roissy.

Les joueurs de notre équipe 1 ont bien commencé leurs différentes compétitions. Les 3 premières journées se sont muées en trois victoires. Ils ont su progresser pour nous donner que des victoires sur leur compteur. Et, contre l’équipe du jour, les joueurs ont  subi une lourde déconvenue. Je me suis même entendu susurrer qu’ « l’équipe  fut ridicule ».

Il me vint comme réponse que nous pouvions ne rien dire (ou presque), en effet, des choses bien plus durs, comme une rencontre perdue des bleus lors d’une ultime rencontre de Coupe du Monde de Rugby… Je suis, vous devez en être conscient, complètement désolé en cette chose.

Bref, tout ceci nous éloigne  de nos rencontres de ce week-end. Et, mes sources du jour, ne cherchent en rien une excuse. Les hommes en noir (ou en gris) ont été sinon bon, du moins honnête. Non, des fois, rien ne fonctionne. Que doit-on dire, comment doit-on répondre ? Si ce n’est reprendre son jeu, persévérer, surtout ne rien desserrer  de son expérience. Persévérer.

Les joueurs de l’équipe 2 se sont retrouvés, pour le compte d’une deuxième journée de compétition, en visite sur Roissy en Brie.

Le compte est bon. Pour une rencontre on compte donc une victoire.

Nos joueurs ont toujours mené. Le score fut même de plus de quinze points pour notre équipe. Roissy revint presque, conséquence d’un « gros coup de mou » lors du début du dernier temps de jeu.

L’équipe, solide, su éviter une remontée de leurs hôtes, et se permit même de se redonner, en toute fin, de l’oxygène pour respirer plus librement. Victoire 63-73.

Bien sûr, des choses seront revues. Des joueurs furent loin d’être irrépréhensibles.  Peut-être que nous en redirons quelques mots, en temps voulu.

L’équipe 1 perd. L’équipe 2 empoche une victoire.

Un jour, et le futur n’est guère loin pour nous le prouver, ce sont les deux équipes qui empocheront leur victoire respective.

Repos ce week-end. Pour tous. Reposez vous bien. C’est le week-end qui suit que nos compétitions reprennent.

* Vous noterez, que le seul « A » que vous trouverez si vous lisez bien l’ensemble de ce texte, est celle de l’équipe concurrente de notre équipe 1.  Je me suis trouvé obligé de l’écrire. Hormis cette exception, je prouve ici, que nul n’est indispens_ble… Enfin presque !